Réserves De Biodiversité

Agir pour l'Environnement lance une grande campagne Ulule pour des financer des Réserves de Biodiversité dans toute la France. 

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Vous &ecirc;tes propri&eacute;taire ou locataire, vous habitez &agrave; la ville ou &agrave; la campagne, vous disposez d&rsquo;un jardin, identifiez un espace petit ou grand. Un espace naturel pr&eacute;serv&eacute; de la lumi&egrave;re artificielle, &eacute;loign&eacute; de tout &eacute;pandage de pesticides ou engrais chimiques.
Ne tondez plus, ne fauchez plus, ne taillez pas. La nature reprend ses droits. Il n&rsquo;a jamais &eacute;t&eacute; aussi simple d&rsquo;agir pour l&rsquo;environnement. Vous aussi <a href="https://geophoto.agirpourlenvironnement.org/ilotdenature/" target="_blank" rel="noopener">cr&eacute;ez et identifiez votre &Icirc;lot de nature</a> et recevez r&eacute;guli&egrave;rement des conseils&hellip; pour ne rien faire !
<h2>Ne rien faire en 10 &eacute;tapes</h2>
<ol data-editing-info="{&quot;orderedStyleType&quot;:1,&quot;unorderedStyleType&quot;:1}">
<li>Tu proscriras pesticides, engrais et produits chimiques. &nbsp;</li>
<li>Tu excluras la tonte de l&rsquo;herbe, l&rsquo;arrachage des haies, la taille des arbres. &nbsp;</li>
<li>Tu emp&ecirc;cheras que ton &Icirc;lot de nature soit artificialis&eacute;, b&eacute;tonn&eacute;, bitum&eacute;&hellip;&nbsp;</li>
<li>Tu pr&eacute;serveras les sols&nbsp;: pas de labour, de culture, de p&acirc;turage. &nbsp;</li>
<li>Tu ne feras aucun pr&eacute;l&egrave;vement (fruits, fleurs, champignons...). &nbsp;</li>
<li>Tu ne chasseras pas et respecteras le vivant sous toutes ses formes. &nbsp;</li>
<li>Tu feras la part belle &agrave; l&rsquo;obscurit&eacute; en emp&ecirc;chant la pollution lumineuse. &nbsp;</li>
<li>Tu excluras tout passage d&rsquo;engins motoris&eacute;s. &nbsp;</li>
<li>Tu tol&eacute;reras les usages r&eacute;cr&eacute;atifs de la nature en t&rsquo;assurant de n&rsquo;avoir aucun impact.&nbsp;&nbsp;</li>
<li>Tu interdiras les d&eacute;p&ocirc;ts de d&eacute;chets et les feux.</li>
</ol>
<a href="https://geophoto.agirpourlenvironnement.org/ilotdenature/" target="_blank" rel="noopener"><img src="https://apeorg.directus.app/assets/bc01c3b9-c82e-4c2c-8dd4-9b79c0053b19.png?width=1920&amp;height=250" alt="Je cr&eacute;e mon &Icirc;lot de nature"></a>

Ensemble, créons des Îlots de nature

La prise de contr&ocirc;le d&rsquo;Elon Musk a amplifi&eacute; le r&egrave;gne de l&rsquo;infoX permanente, utilisant X comme un outil au service d&rsquo;un agenda id&eacute;ologique r&eacute;actionnaire.
Pour St&eacute;phen Kerckhove, directeur g&eacute;n&eacute;ral d&rsquo;Agir pour l&rsquo;environnement, &laquo; Nous refusons de cautionner le bruit et la fureur d&rsquo;un r&eacute;seau social qui, sous couvert de libert&eacute; d&rsquo;expression, contribue &agrave; &eacute;roder le vivre-ensemble. &raquo;
Agir pour l&rsquo;environnement appelle les responsables politiques et institutionnels &agrave; d&eacute;laisser X, espace devenu toxique pour notre d&eacute;mocratie.
L&rsquo;association appelle &eacute;galement les sympathisants &agrave; poursuivre l&rsquo;&eacute;change sur des espaces apais&eacute;s et &agrave; rejoindre Agir pour l&rsquo;environnement sur&nbsp;<a href="https://ecologie.social/@agirpourlenvironnement?utm_source=brevo&amp;utm_campaign=CP%20X&amp;utm_medium=email" target="_blank" rel="noopener">Mastodon</a> (serveur : ecologie.social) ou sur <a href="https://bsky.app/profile/apenvironnement.bsky.social?utm_source=brevo&amp;utm_campaign=CP%20X&amp;utm_medium=email" target="_blank" rel="noopener">Bluesky</a>.&nbsp;
<h2>Contact Presse</h2>
<ul>
<li>St&eacute;phen KERCKHOVE I Directeur g&eacute;n&eacute;ral d'Agir pour l'environnement</li>
</ul>

Agir pour l’environnement fait  une croix sur X

A
 l’instar d’une centrale nucléaire,
 le modèle industriel soutenu par les dirigeants d’Areva s’avère
 lourd à manier,
 gourmand en capitaux et ne répondant plus aux besoins d’un
 modèle énergétique
 en pleine mutation.
 Faute
 d’avoir saisi le
 choix de société offert par les énergies renouvelables, la
 stratégie
 industrielle du groupe Areva (et dans sa suite tout le lobby
 nucléaire) se lézarde
 et laisse entrevoir la menace d’une faillite annoncée. Areva
 était un géant du
 nucléaire, ce groupe est désormais un géant aux pieds d’argile&#160;!
 L’incurie
 des dirigeants
 inaptes à saisir l’air du temps poursuit inlassablement la même
 stratégie en
 espérant une hypothétique relance du nucléaire qui n’est
 qu’illusion
 industrielle entretenue par l’idéologie du tout-nucléaire.
 A
 l’heure de la transition
 énergétique, Areva doit se refonder en s’appuyant sur
 l’expertise acquise
 depuis 50 ans en matière nucléaire et la réinvestir dans le
 démantèlement des
 anciens réacteurs. Cette activité écologiquement utile,
 économiquement rentable
 et pourvoyeuse en emplois qualifiés pourrait offrir du travail
 pour plusieurs
 décennies aux salariés d’Areva aujourd’hui menacés par ce plan
 social.
 Areva
 doit également être
 l’un des groupes support de la transition énergétique venant en
 soutien au
 développement des énergies renouvelables.
 La
 stratégie industrielle
 d’Areva est tout aussi monolithique et fragile qu’une cuve de
 réacteur EPR.
 Elle se fissure à mesure qu’elle vieillit. Il est grand temps de
 dépasser le
 modèle dessiné par Pierre Messmer dans les années 70. La
 transition énergétique
 a besoin de groupes industriels tels qu’Areva. En s’obstinant
 dans l’erreur,
 Areva risque d’entraîner la France dans un nouveau «&#160;Crédit
 Lyonnais&#160;».
 La
 transition énergétique
 hexagonale mérite mieux que l’EPR et un plan social qui sont les
 deux faces d’une
 même pièce radioactive.

Plan social chez Areva : Entre 2000 et 3200 salariés… vont sortir du nucléaire !

Les déboires que rencontre le projet de réacteur nucléaire EPR pèsent directement sur les finances d’Areva et par voie de conséquence celle de l’Etat.D’un coût initialement prévu de 3,3 milliards d’euros, le coût final devrait largement dépasser les 10 milliards d’euros&#160;; sans garantie que ce réacteur puisse injecter le moindre kilowattheure sur le réseau. Ces multiples retards ressemblent à s’y méprendre aux aléas rencontrés par le surgénérateur Superphenix dont la facture finale s’est élevée à… 10 milliards d’euros&#160;!Même si les technologies ne sont pas les mêmes, l’entêtement des pouvoirs publics est quant à lui identique&#160;: Même incapacité à évaluer sérieusement les surcoûts et tenir les budgets, même cécité devant un échec pourtant annoncé.Alors qu’Areva est majoritairement détenu par l’Etat, l’itinéraire d’une catastrophe annoncée ne peut laisser la représentation nationale sans voix. Une commission d’enquête parlementaire doit se saisir de ce dossier afin de faire toute la lumière sur les responsabilités industrielles, financières et politiques. Le lobby nucléaire ne peut, impunément, continuer à jouer au poker menteur avec l'argent des autres.L’ancien ministre des finances qui, en 2006, a fait valider, à la sauvette dans les annexes d’une loi sur l’énergie, ce projet de réacteur EPR, doit répondre de ses choix.L’échec industriel de l’EPR est en passe de conduire à un crack financier du type «&#160;crédit lyonnais&#160;». Les sommes en jeu sont abyssales. L’entêtement du lobby nucléaire qui multiplie les projets coûteux doit rencontrer une représentation nationale contrôlant et stoppant ces dérives financières graves et répétées.

Réacteur EPR : Une Commission d’enquête parlementaire doit se pencher sur cet échec annoncé ! 

Alors que les jours se suivent et se ressemblent en matière de
 pollution de
 l’air, la ministre de l’Écologie semble tenter de casser le
 thermomètre en
 réduisant drastiquement le budget d’AirParif, l’organisme en
 charge de mesurer
 la qualité de l’air.
 Cette décision
 incompréhensible,
 est clairement motivée par le désir de la ministre de museler un
 organisme qui
 a le démérite de déplaire en osant rendre publiques des données
 sur la qualité
 de l’air qui démontrent, jour après jour, l’échec de la
 politique du
 gouvernement.
 Après avoir
 refusé, avec
 entêtement, de mettre en place la circulation alternée, après
 avoir remis en
 cause le principe même de l’écotaxe Poids lourds, c’est la
 troisième fois que
 la ministre de l’Écologie prend une mesure scandaleuse
 augmentant l’exposition
 de la population à un air contaminé.
 Le refus d’une
 écologie dite
 «&#160;punitive&#160;» érigée en dogme par la ministre de l’Ecologie
 apparaît
 pour ce qu’il est&#160;: une punition infligée à toutes celles et
 ceux qui ne
 peuvent, à l’instar des routiers et exploitants agricoles,
 casser, détruire ou
 bloquer la France.
 &#160;Agir pour l’Environnement appelle à
 l’organisation d’un vaste
 débat multi-acteur sur la qualité de l’air permettant ainsi
 de trouver les
 solutions que la ministre semble incapable d’imaginer.

Baisse du budget d'AirParif : Royal ne manque pas d'air !

Face à l’explosion des coûts de ce prototype, Areva et Bouygues
Travaux publics semblent tenter de jouer ce chantier à l’économie, multipliant
les contrats précaires et les coups de canif en matière de sécurité
élémentaire.Près de 7 ans après le début de ce chantier titanesque,
force est de constater que le gigantisme en matière énergétique a vécu. A
l’instar du surgénérateur Superphenix, l’EPR de Flamanville est en train de se
transformer en caricature de la grandiloquence à la française&#160;! L’EPR de
Flamanville cumule tous les errements de la centralisation d’une technocratie
nucléaire qui confine à l’autisme&#160;; cette lourdeur d’un appareil d’Etat est
inapte à saisir les opportunités offertes par la transition énergétique.Pour répondre aux enjeux de la transition énergétique, les
projets d’avenir doivent être décentralisés, peu coûteux et résilients. Comme
nous y invite l’Ademe, une France 100% renouvelable n’est pas une vue de l’esprit
mais une réalité qu’il s’agit de mettre à l’ordre du jour.Pour Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour
l’Environnement, «&#160;Si l’objectif de l’EPR était de démontrer
l’incompétence et l’incurie du lobby nucléaire, la preuve est définitivement
faite&#160;! Il faut savoir abandonner un projet inutile avant qu’il n’entraine
Areva dans une faillite annoncée&#160;!&#160;»

Réacteur nucléaire EPR : De la fuite en avant... avant la fuite radioactive ?!

Profitant du
premier avril, Agir pour l’Environnement a épinglé la société Monsanto en
diffusant, sur un site pastiche&#160;<a href="http://www.round-up.fr/">http://www.round-up.fr</a>
un vidéo que cette multinationale de l’agrochimie aurait sans doute préféré ne
pas voir trop diffusée…Alors que le
glyphosate, substance active du Round-up, vient d’être classé par
l’Organisation Mondiale de la Santé comme «&#160;cancérigène probable pour l’Homme&#160;»,
Agir pour l’Environnement a lancé <a href="http://stop-roundup.agirpourlenvironnement.org/">une pétition en ligne</a> afin de demander aux
ministres de la Santé, de l’Agriculture et de l’Ecologie, une interdiction
rapide de la commercialisation du Round-up.L’interdiction
du «&#160;poison d’avril&#160;» qu’est le Round-up doit être une priorité du
gouvernement. Mis en vente sans aucune contrainte ni message d’alerte sanitaire
destiné aux jardiniers amateurs, ce produit «&#160;cancérigène probable&#160;»
doit être retiré immédiatement des linéaires des jardineries et hyper-marchés.Alors que le
Round-up demeure très utilisé par les collectivités locales, le ministère de
l’Ecologie doit fortement inciter les villes et villages de France à ne plus
recourir à ce type de produits.&#160;La pétition
électronique diffusée par Agir pour l’Environnement a déjà recueilli plus de 45&#160;000
signatures en moins de deux jours.

Le Round-up, véritable "#poiSondavril" doit être interdit !

Le JDD devant le JDP... ou comment le Journal du Dimanche va être assigné à deux reprises&#160;pour publicité faussement écologique !Le Salon de l’Agriculture, vaste entreprise de verdissement de l’agriculture productiviste semble&#160;inspirer les publicitaires puisque dans l’édition du Journal du Dimanche datée du dimanche 23&#160;février, pas moins de deux publicités utilisent des arguments environnementaux.Les producteurs de bananes de Martinique, grands utilisateurs de pesticides, qui n’ont eu de cesse&#160;d’obtenir des exemptions et délais pour ne pas appliquer la réglementation visant à réduire le&#160;recours aux pesticides, sont ainsi présentés comme des acteurs se battant « chaque jour pour&#160;répondre aux plus hautes exigences environnementales ». Cette formule équivoque tombe sous le&#160;coup de charte déontologique de l’Autorité de Régulation de Professionnels de la Publicité qui&#160;proscrit toute assertion faussement écologique.Dans la même édition du JDD, un cahier central publicitaire réalisé avec Terres OléPro fait une large&#160;place à filières oléagineuses et protéagineuses, grandes consommatrices d’intrants chimiques et de&#160;pesticides. Entre une « interview » du président de la FNSEASofiprotéol et quelques photographies&#160;de champs de colza, un « publi-article » est titré « Produire en France dans le respect de&#160;l’environnement ». A la lecture de cette demi-page promotionnelle, les allusions à l’environnement,&#160;au développe durable et à l’écoresponsabilité cachent mal l’impact réel de ces filières sur la&#160;biodiversité et la pollution des eaux de captages.Face à ce doublé du Journal du Dimanche, Agir pour l’Environnement a donc déposé une double&#160;plainte auprès du Jury de Déontologie de la Publicité, afin d’obtenir une condamnation des&#160;annonceurs recourant à ces arguments faussement écologiques.

La publicité faussement écologique à la banane !

Communiqués de presse

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