Problem plastic bottles and microplastics floating in the open ocean. Marine plastic pollution concept. 3D illustration

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Mobilisons nous pour que les pouvoirs publics s'attaquent au vrai problème : réduire la production de plastiques à la source et lutter contre le mythe du recyclage.

Alerte aux microplastiques

87 associations et syndicats quittent X afin de poursuivre la bataille des idées dans la dignité

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Chez Agir pour l&rsquo;environnement, nous avons eu la chance de travailler avec des dessinateurs de Charlie Hebdo, comme Cabu, Tignous et Luz, qui ont illustr&eacute; certaines de nos campagnes. Leur humour et leur talent ont port&eacute; haut nos combats pour un monde plus juste et durable.
<img src="https://apeorg.directus.app/assets/2f089c54-4707-454b-b3f2-dc257241e6cb.png?width=1200&amp;height=675" alt="Visuels Articles">
<img src="https://apeorg.directus.app/assets/397a4ac0-5455-4fb6-9f32-0e6d9d33817e.png?width=1200&amp;height=675" alt="Campagnes APE">
En ce moment de recueillement, nous souhaitons affirmer notre attachement &agrave; la libert&eacute; d'expression. Continuons &agrave; dessiner, &eacute;crire et agir ensemble pour la d&eacute;fendre.

Dix ans après les attentats de Charlie Hebdo

<h2>Une gestion de projet critiqu&eacute;e</h2>
 Selon la Cour des comptes, les d&eacute;passements budg&eacute;taires sont principalement d&ucirc;s &agrave; des erreurs de conception, des anomalies techniques et une gestion d&eacute;faillante du chantier. &nbsp; L&rsquo;EPR devait &ecirc;tre un mod&egrave;le pour l&rsquo;industrie nucl&eacute;aire fran&ccedil;aise, mais il illustre d&eacute;sormais les difficult&eacute;s de mise en &oelig;uvre des projets de grande ampleur.&nbsp; &nbsp; Cela est &eacute;galement visible avec les projets d&rsquo;EDF &agrave; l&rsquo;&eacute;tranger, comme Hinkley Point C au Royaume-Uni et Olkiluoto en Finlande, qui subissent ou ont subi de nombreux retards et des r&eacute;&eacute;valuations des co&ucirc;ts &agrave; la hausse.
<h2>Des implications &eacute;conomiques et environnementales</h2>
Ce montant colossal suscite des interrogations sur la viabilit&eacute; &eacute;conomique du projet des EPR2, alors que la France s&rsquo;efforce d'investir &agrave; la fois dans son parc nucl&eacute;aire vieillissant et dans les &eacute;nergies renouvelables, dans un contexte de transition &eacute;nerg&eacute;tique. &nbsp; Selon une <a href="https://www.france-renouvelables.fr/actualite/enquete-8-francais-sur-10-sont-favorables-au-developpement-des-energies-renouvelables-sur-leur-territoire/" target="_blank" rel="noopener">&eacute;tude r&eacute;alis&eacute;e</a> le 24 juin 2024, 79 % des fran&ccedil;ais souhaitent voir les &eacute;nergies renouvelables se d&eacute;velopper davantage dans leur r&eacute;gion. &nbsp; En investissant l&rsquo;argent allou&eacute; &agrave; l&rsquo;EPR de Flamanville dans les &eacute;oliennes, par exemple, il aurait &eacute;t&eacute; possible d&rsquo;installer environ 16 928 MW d&rsquo;&eacute;oliennes, soit 71 % du parc &eacute;olien actuellement install&eacute; en France.
<h2>Quelles le&ccedil;ons pour l&rsquo;avenir ?</h2>
Cette situation pose des questions fondamentales sur la strat&eacute;gie &eacute;nerg&eacute;tique nationale et la capacit&eacute; des grands acteurs industriels &agrave; g&eacute;rer des projets d&rsquo;une telle complexit&eacute;. &nbsp; Alors que l&rsquo;EPR de Flamanville devait servir de vitrine technologique, il met en lumi&egrave;re des d&eacute;fis structurels pour EDF et les autorit&eacute;s responsables. &nbsp; Agir pour l'environnement demande &agrave; ce que la France ne se lance pas dans des projets aussi risqu&eacute;s que les EPR2 et concentre plut&ocirc;t sa strat&eacute;gie &eacute;nerg&eacute;tique sur la sobri&eacute;t&eacute; ainsi que sur le d&eacute;veloppement des &eacute;nergies renouvelables.

Coût de l’EPR de Flamanville : un projet nucléaire hors de contrôle

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 22/05/2020<h2 style="color:#000">PLAN DE RÉDUCTION DES PESTICIDES : L’ÉCHEC !</h2>En publiant les statistiques des ventes de pesticides en France en 2018, le commissariat général au développement durable a jeté un pavé dans la mare en reconnaissant officiellement l’échec des plans Ecophyto.Entre 2009 et 2018, les ventes d’insecticides ont ainsi augmenté de 350%, les herbicides de 23% et les fongicides de 41%. Malgré les&#160;«&#160;engagements&#160;» du président de la République relatifs à la sortie du glyphosate à l’horizon 2022, les ventes de cet herbicide ne cessent d’augmenter pour passer de 8 859 tonnes en 2017 à 9 723 tonnes en 2018&#160;!La France, en 2018, atteint donc un nouveau record avec 85 900 tonnes de substances actives vendues contre 71 200 tonnes en 2017. Pour Agir pour l’Environnement, «&#160;Nous faisons face à une véritable explosion des ventes de pesticides en France&#160;! Face à cet échec, le gouvernement doit profondément changer de stratégies en cessant de s’en remettre au syndicat agricole majoritaire dont les engagements successifs visant à diminuer l’utilisation des pesticides relèvent au mieux de la prestidigitation.&#160;»Agir pour l’Environnement appelle les parlementaires à obliger le gouvernement à agir concrètement. Le temps des belles paroles et des faux engagements vient de s’écraser sur une note du commissariat général au développement durable dont les données apportent la preuve définitive de la duplicité du gouvernement en matière de réduction des ventes de pesticides.CONTACT PRESSE :&#160;presse[a]agirpourlenvironnement.org

Échec du plan de réduction des pesticides

Agir pour l'Environnement appelle les parlementaires à adopter le plus rapidement possible une loi contraignant les compagnies aériennes à respecter les contraintes climatiques.
Le ministre de l&rsquo;Economie, Bruno Le Maire a annoncé qu&rsquo;en contrepartie de l&rsquo;aide substantielle apportée par l&rsquo;Etat à Air France-KLM, la compagnie aérienne devrait d&rsquo;ici 2030 baisser ses émissions de gaz à effet de serre de 50% et mettre un terme aux vols intérieurs lorsque des alternatives ferrées existent en moins de 2h30.
Ces déclarations vont dans la bonne direction mais ne reste que des belles intentions qu&rsquo;il est désormais nécessaire d&rsquo;imposer, via une loi, aux compagnies aériennes dans leur ensemble, au risque d&rsquo;amorcer un appel d&rsquo;air favorisant les compagnies low cost. 
Agir pour l&rsquo;Environnement prend date et vérifiera la crédibilité de la parole ministérielle dès le 11 mai, date à laquelle Air France a d&rsquo;ores et déjà programmé trois vols en partance de Paris vers Montpellier, Bordeaux et Brest. Sur ces trois vols, des alternatives ferrées existent et elles sont plus rapides, moins émettrices de gaz à effet de serre et moins couteuses pour l&rsquo;usager. Air France doit donc annuler ces vols de confort.
L&rsquo;association s&rsquo;inquiète ouvertement de la proposition formulée par le ministre de l&rsquo;Economie de fixer un objectif de 2% de carburant alternatif durable d&rsquo;ici 2025 à l&rsquo;heure où Total cherche à justifier ses carburants à base d&rsquo;huile de palme. Pour l&rsquo;heure, les carburants alternatifs n&rsquo;ont de durables que leur aptitude à être soutenu par le ministre de l&rsquo;Economie envers et contre tous.
Pour Stéphen Kerckhove, délégué général d&rsquo;Agir pour l&rsquo;Environnement, &laquo; les paroles s&rsquo;envolent, les actes restent. Il est donc nécessaire que les parlementaires puissent adopter le plus rapidement pos- sible une loi contraignant les compagnies aériennes à respecter les contraintes climatiques. &raquo;.

Le gouvernement ne manque pas d'Air... France !

Aviation : Des paroles en l'air... France ?

Paris, le 29 avril 2020 : En à peine 24 heures, pas moins de 25.000 personnes ont signé <a href="https://soldeclimatique.agirpourlenvironnement.org/">la pétition « Solde climatique chez Air France »</a> pour exiger que l'aide de l’État Français aux compagnies aériennes, notamment 7 milliards d'euros de prêt accordés à Air France, s'accompagne de réels engagements climatiques et sociaux !Pour Agir pour l'Environnement, les récentes annonces d’Air France apportent la preuve du peu de cas que cette compagnie fait des vagues déclarations de la ministre de l’écologie affirmant que le prêt accordé par l’État Français n’était pas un chèque en blanc.La compagnie Air France envisage un plan social tout en préparant un retour à l’anormal. Le jour du déconfinement prévu le 11 mai, des vols décolleront de Paris vers les villes de Montpellier, Bordeaux et Brest. Trois destinations desservies par le TGV estimé 40 fois moins polluant.Agir pour l’Environnement appelle le gouvernement à interdire les vols intérieurs en France Métropolitaine lorsque des alternatives ferrées existent, à suspendre des projets d’extension d’aéroport.Le gouvernement est en train de dessiner les contours d’un monde d’après qui fleure bon le kérosène détaxé et passe une nouvelle fois à côté de la nécessaire transition écologique et sociale.L’association regrette que la crise du COVID19 ne soit pas l’occasion d’organiser une vaste relance écologique passant par une reconversion massive des secteurs climaticides tout en investissant notamment dans les modes de déplacement rapides, efficaces et sobres en énergie et en carbone comme le train.En laissant Air France continuer à concurrencer la SNCF sur des lignes intérieures, l’État Français apporte la preuve de son manque criant de vision stratégique, préférant accorder des prêts à Air France qui conduiront la SNCF à accroître sa dette.* <a href="https://soldeclimatique.agirpourlenvironnement.org/">https://soldeclimatique.agirpourlenvironnement.org/</a>CONTACT : presse[a)agirpourlenvironnement.org

Plan de relance : un gouvernement qui ne manque pas d’Air... France !

Paris, le 19 mars 2020 : En pleine crise du coronavirus, la société Dow AgroSciences, filiale de la multinationale de sinistre mémoire DowChemical (responsable de la catastrophe de Bhopal), vient de saisir la Cour administrative d'appel de Marseille afin d'obtenir l'annulation de l'interdiction de deux insecticides à base de sulfoxaflor.Le Tribunal administratif de Nice avait, en date du 29 novembre 2019, annulé l'autorisation de mise sur le marché de deux insecticides systémiques, le « Transform » et le « Closer », grâce à une action conjointe de l'Union nationale de l'apiculture française et de l'association Agir pour l'Environnement.Cette décision de Dow AgroSciences de saisir la Cour administrative d'appel de Marseille laisse l'UNAF et APE perplexe. En effet, le Gouvernement a confirmé par décret, le 30 décembre 2019, l'interdiction de deux substances phytopharmaceutiques au mode d'action proche de celui des néonicotinoïdes :&#160;le sulfoxaflor et le flupyradifurone. Celles-ci sont donc « visées par&#160;&#160;l'interdiction de l'utilisation des produits phytopharmaceutiques en contenant et des semences&#160;traitées avec ces produit&#160;».Pour Agir pour l'Environnement et l'Union nationale de l'apiculture française, il est pour le moins scandaleux que cette multinationale profite de la crise sanitaire que traverse la France pour tenter d'obtenir en catimini, la possibilité de commercialiser deux pesticides dont les effets néfastes sur les populations d'insectes pollinisateurs sont avérés.Malgré les difficultés liées au confinement, Agir pour l'Environnement et l'Union nationale de l'apiculture française, représentées par Me Bernard Fau, vont faire en sorte de contester cet appel afin de clore définitivement les velléités de cette multinationale de mettre sur le marché ces insecticides néonicotinoïdes.

Et pendant ce temps-là... Dow AgroSciences fait appel de la décision d'annuler la mise sur le marché de deux insecticides néonicotinoïdes #sulfoxaflor

Paris,
le 14 février 2020&#160;: Saisi en urgence par le collectif des maires
anti-pesticides avec le soutien d’Agir pour l’Environnement, le Conseil d’Etat
vient de rejeter le référé visant à suspendre l’arrêté fixant des périmètres de
seulement 3 à 10m sans traitement pesticides autour des habitations et des
écoles.Agir
pour l’Environnement regrette cette décision du Conseil d’Etat. Alors que la
Cour des comptes vient de reconnaître l’indigence des plans Ecophyto, coûteux
et sans résultat, alors que les ventes de pesticides ont bondi de 24% entre
2017 et 2018, les «&#160;Sages&#160;» du Conseil d’Etat n’ont pas estimé qu’il
était urgent de revoir une réglementation virtuelle fixant des périmètres de
protection qui n’en sont pas.La
France continuera donc à multiplier des plans sans lendemain et adopter des
réglementations sans résultats.Agir
pour l’Environnement a décidé de contre-attaquer en saisissant à nouveau et ce
fois-ci sur le fond le Conseil d’Etat afin d’obtenir le retrait de cette
réglementation.

Le collectif des maires anti-pesticides devant le Conseil d'Etat

Protection des riverains aux pesticides : Pour le Conseil d’État, il est urgent d’attendre !

<div class="page" title="Page 1"><div class="layoutArea"><div class="column">Paris, le 10 février 2020 : Dans le cadre d'un référé suspension engagé par le collectif
des maires anti-pesticides contre la décision prise par le gouvernement de fixer des
zones sans traitements pesticides de 3 à 20 mètres à proximité des habitations, Agir
pour l’Environnement a décidé, avec l’appui de Maître Corinne Lepage, de déposer
un mémoire en intervention volontaire devant le Conseil d’Etat.
L’audience aura lieu lundi 10 février 2020 à 10h30 en présence de Stéphen Kerckhove,
délégué général et Mathias Chaplain, coordinateur des campagnes d’Agir pour
l’Environnement.
Par ce recours, l’association Agir pour l’Environnement souhaite faire reconnaître le
caractère superfétatoire des mesures adoptées par le gouvernement en matière de
réduction de l’usage des pesticides.
Pour Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’Environnement, « alors même
que les ventes des pesticides ont bondi de plus de 21% entre 2017 et 2018, l’adoption
de zones sans traitements, limitées à quelques mètres s’apparente à une énième
gesticulation sans effet réel sur l’exposition des riverains aux pesticides ».
L’urgence de la situation commande de ne plus accepter une politique hors sol
supposée lutter contre une agriculture hors sol.
</div></div></div>

Communiqués de presse

Échec du plan de réduction des pesticides

PLAN DE RÉDUCTION DES PESTICIDES : L’ÉCHEC !

Aviation : Des paroles en l'air... France ?

Plan de relance : un gouvernement qui ne manque pas d’Air... France !

Et pendant ce temps-là... Dow AgroSciences fait appel de la décision d'annuler la mise sur le marché de deux insecticides néonicotinoïdes #sulfoxaflor

Protection des riverains aux pesticides : Pour le Conseil d’État, il est urgent d’attendre !

Zone sans pesticides : Agir pour l’Environnement engage un recours devant le Conseil d’Etat

Communiqués de presse

Échec du plan de réduction des pesticides

PLAN DE RÉDUCTION DES PESTICIDES : L’ÉCHEC !

Aviation : Des paroles en l'air... France ?

Plan de relance : un gouvernement qui ne manque pas d’Air... France !

Et pendant ce temps-là... Dow AgroSciences fait appel de la décision d'annuler la mise sur le marché de deux insecticides néonicotinoïdes #sulfoxaflor

Protection des riverains aux pesticides : Pour le Conseil d’État, il est urgent d’attendre !

Zone sans pesticides : Agir pour l’Environnement engage un recours devant le Conseil d’Etat

Restons mobilisés