Problem plastic bottles and microplastics floating in the open ocean. Marine plastic pollution concept. 3D illustration

Adobestock 308716508

Mobilisons nous pour que les pouvoirs publics s'attaquent au vrai problème : réduire la production de plastiques à la source et lutter contre le mythe du recyclage.

Alerte aux microplastiques

87 associations et syndicats quittent X afin de poursuivre la bataille des idées dans la dignité

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Or, pr&egrave;s de 6 mois apr&egrave;s <a href="https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/enquete-exclusive-du-plastique-dans-le-coca-cola/" target="_blank" rel="noopener">cette premi&egrave;re enqu&ecirc;te</a>, Agir pour l&rsquo;environnement a fait analyser du Coca-Cola contenu dans une bouteille plastique apr&egrave;s une vingtaine d&rsquo;ouvertures et a, de nouveau, identifi&eacute;&nbsp;quatre sortes de plastiques dont du PVC (polychlorure de vinyle), dans des proportions moindres qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;occasion des premi&egrave;res analyses.
Malgr&eacute; cette variation statistiquement explicable, la permanence de cette pr&eacute;sence mat&eacute;rialise un probl&egrave;me dans le processus de fabrication et d&rsquo;embouteillage, conduisant &agrave; une exposition r&eacute;guli&egrave;re des consommateurs &agrave; un cocktail de plastiques dont du PVC.
Or, la multinationale d&rsquo;Atlanta s&rsquo;est engag&eacute;e en f&eacute;vrier 2019, en signant le pacte national sur les emballages plastiques, &agrave; arr&ecirc;ter l&rsquo;utilisation de PVC dans les emballages d&rsquo;ici 2022&hellip; La pr&eacute;sence de ce polym&egrave;re demeure donc un myst&egrave;re...
Interrog&eacute;e par des journalistes de TF1, la soci&eacute;t&eacute; Coca-Cola a affirm&eacute; qu&rsquo;&nbsp;&laquo;&nbsp;il n&rsquo;existe&nbsp;aujourd&rsquo;hui aucune preuve scientifique sugg&eacute;rant que l&rsquo;ingestion de particules de plastique est pr&eacute;occupant pour la sant&eacute; humaine&nbsp;&raquo;. De l&agrave; &agrave; en d&eacute;duire que le plastique est bon pour la sant&eacute;&hellip;
Malgr&eacute; ces deux alertes, la quantit&eacute; de particules ainsi que la vari&eacute;t&eacute; des plastiques identifi&eacute;s n&rsquo;ont pour l&rsquo;heure connu aucune r&eacute;ponse s&eacute;rieuse de la part des industriels, des autorit&eacute;s sanitaires hexagonales ni de la r&eacute;pression des fraudes.
Ce silence est proprement scandaleux car il pr&eacute;sume que les industriels aient fait le choix d&rsquo;opter pour la strat&eacute;gie de l&rsquo;autruche, laissant ainsi passer l&rsquo;orage en pariant sur la lassitude d&rsquo;Agir pour l&rsquo;environnement&hellip; C&rsquo;est mal nous conna&icirc;tre 😉
Nous comptons sur vous pour <a href="https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/enquete-exclusive-du-plastique-dans-le-coca-cola/" target="_blank" rel="noopener">partager largement cette information</a>&nbsp;sur vos r&eacute;seaux sociaux :
<div style="text-align: center;"><a href="https://ecologie.social/@agirpourlenvironnement/113940094772633015" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/14c78486-da11-483a-b0c5-8abffdce7467.png?width=700&amp;height=150" alt="Mastodon"> </a> <a href="https://bsky.app/profile/apenvironnement.bsky.social/post/3lhbmqb6htk2w" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/cd724e95-b696-42ca-9f46-d9b64391ff65.png?width=700&amp;height=150" alt="Bluesky"> </a> <a href="https://www.instagram.com/p/DFnJbZSoqNq/" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/ef7ddbb7-8289-4cce-8362-d14da6f1022b.png?width=700&amp;height=150" alt="Instagram"> </a> <a href="https://www.threads.net/@agirpourlenvironnement/post/DFnJcZOIOti?xmt=AQGz4KFEj7jdnSjVELuESpWa3bz_vGQhHfqxE96irm8pQQ" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/d1c9a478-9202-4925-90fb-610ec10241fe.png?width=700&amp;height=150" alt="Threads"> </a> <a href="https://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement/posts/pfbid0NVvMEjxiWB5GigmwmfvBPaHUyUnPp76FKdMd6yNdxd8KzQtoHidxYKXq31H485wcl" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/270b5ae2-58b2-400c-8703-d3ae8dea6910.png?width=700&amp;height=150" alt="Facebook"> </a> <a href="https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7292166044318597120" target="_blank" rel="noopener"> <img style="max-width: 500px; height: auto; margin: 10px auto; display: block;" src="https://apeorg.directus.app/assets/a86603eb-eafc-4350-81f4-19afbc2d7436.png?width=700&amp;height=150" alt="LinkedIn"> </a></div>

Il y a toujours des particules de plastiques dans le Coca-Cola

Mis sous pression par l'ensemble des acteurs agricoles et par les citoyen&middot;ne&middot;s, notamment gr&acirc;ce &agrave; une&nbsp;<a href="https://r.mailing3.agirpourlenvironnement.org/mk/cl/f/sh/28xHLtxYQ4z5Ef1HuDXlXylQAteHc3biGP/pQ7G0WAWd-1A" target="_blank" rel="noreferrer nofollow noopener">p&eacute;tition</a>&nbsp;coordonn&eacute;e par Agir pour l'environnement r&eacute;unissant pr&egrave;s de 70 000 signatures, le gouvernement a fini par exprimer son soutien &agrave; l'agence. Il reste d&eacute;sormais &agrave; la Commission mixte paritaire d'agir en cons&eacute;quence.
La majorit&eacute; du S&eacute;nat a adopt&eacute; la semaine derni&egrave;re, avec la &laquo; bienveillance &raquo; de la ministre de l'agriculture, un amendement &agrave; la loi de finances supprimant brutalement l&rsquo;Agence Bio, qui soutient et &eacute;claire depuis plus de 20 ans le d&eacute;veloppement de l&rsquo;agriculture biologique fran&ccedil;aise.
Cette agence au statut atypique (mixte public-priv&eacute;) a su r&eacute;unir l&rsquo;ensemble des acteurs agricoles de fa&ccedil;on transpartisane, en concertation &eacute;troite avec les minist&egrave;res de l&rsquo;agriculture et de l&rsquo;environnement. Ses missions d&rsquo;observatoire, de communication et de coordination du plan de relance des fili&egrave;res bio, en font l&rsquo;un des acteurs indispensables du d&eacute;veloppement de la bio en France. Son contrat d&rsquo;objectif venait d&rsquo;ailleurs d&rsquo;&ecirc;tre renouvel&eacute; pour 5 ans par le pr&eacute;c&eacute;dent ministre et la Cour des comptes sugg&eacute;rait r&eacute;cemment d&rsquo;augmenter ses moyens !
&Agrave; l'initiative d'Agir pour l'environnement, 70 000 personnes ont d&eacute;j&agrave; exprim&eacute; leur soutien &agrave; l'Agence Bio en quelques jours. Cet engouement rappelle l'attachement des fran&ccedil;aises et fran&ccedil;ais &agrave; l'agriculture biologique.
Par ailleurs, toute la profession agricole &ndash; au-del&agrave; m&ecirc;me du monde bio &ndash; s'est &eacute;galement indign&eacute;e de ce projet de suppression, sorti du chapeau sans aucune concertation. En cons&eacute;quence, la ministre de la transition &eacute;cologique puis la ministre de l'agriculture ont fini par exprimer leur soutien &agrave; l'Agence Bio et affirmer l'opposition du gouvernement &agrave; la disposition vot&eacute;e par le S&eacute;nat.
La d&eacute;cision finale revient maintenant &agrave; la Commission mixte paritaire, charg&eacute;e d'arbitrer le 30 janvier entre les diff&eacute;rentes versions du projet de loi de finances. Agir pour l&rsquo;environnement appelle les 14 d&eacute;put&eacute;s et s&eacute;nateurs de cette commission &agrave; respecter la volont&eacute; citoyenne et l'avis du gouvernement, et &agrave; maintenir fermement l'existence, le budget et les missions de l'Agence Bio.
<hr>
<h2>Contacts Presse</h2>
<ul>
<li>Jacques CAPLAT I&nbsp;Coordinateur des campagnes agriculture et alimentation chez Agir pour l'environnement</li>
<li>St&eacute;phen KERCKHOVE I Directeur g&eacute;n&eacute;ral d'Agir pour l'environnement</li>
</ul>

Sauvegarde de l'Agence Bio : une dernière ligne droite sous surveillance

Les écologistes, partisans d’une sortie rapide 
 du nucléaire, auraient ainsi opté pour un 
 conservatisme bon teint où la précaution ne 
 serait qu’un principe d’inaction mâtiné 
 d’une petite dose de politiquement correct.Face à ces nouveaux « réactionnaires 
 », les thuriféraires de l’atome avaient 
 beau jeu d’imposer une vérité, LEUR 
 vérité. Après la catastrophe nucléaire 
 de Tchernobyl et celle de Fukushima, cette vérité 
 a, comme l’enceinte de confinement, volé en 
 éclat.
 Comme les chats, les lobbyistes du nucléaire retombent 
 pourtant toujours sur leurs cinq pattes… La catastrophe 
 nucléaire qui touche le Japon aujourd’hui et 
 la Terre entière demain ne serait que le fruit du 
 déchainement des éléments naturels 
 ; ne serait pas intrinsèque à la complexité 
 de la technologie nucléaire.
 Partant de là, la France ne serait pas concernée 
 par cette catastrophe et ne serait pas exposée à 
 l’hypothèse d’une telle catastrophe. 
 Mieux, le réacteur développé par la 
 France serait plus sûr, plus fiable et l’opérateur 
 historique aurait à cœur de défendre 
 une transparence qui serait l’identité même 
 d’EDF.
 Las… nos centrales vieillissantes alliées 
 à la privatisation larvée du secteur nucléaire 
 nous amènent à entrevoir des risques qu’il 
 est inutile de cacher sous le tapis radioactif. La 
 maintenance des réacteurs coûte de plus en 
 plus cher. Parallèlement, la quête d’économie 
 de bouts de chandelle amène les gestionnaires des 
 centrales à recourir à des intervenants extérieurs, 
 intérimaires et soutiers du nucléaire, exploitables 
 et irradiables à souhait.
 Nul n’est donc à l’abri à l’avenir 
 d’une catastrophe nucléaire, même en 
 France. Les raisons de ce risque ne sont pas seulement 
 sismiques mais systémiques, inhérentes à 
 la technologie nucléaire. Sa complexité, 
 sa lourdeur et son coût sont inadaptés à 
 notre monde.
 Vieillissants, les réacteurs vont entraîner 
 des coûts de maintenance exponentiels. Dans le même 
 temps, il est à craindre que la libéralisation 
 du secteur de l’énergie se traduise par une 
 volonté de diminuer le coût de production afin 
 de satisfaire l’avidité de l’oligarchie 
 éco-prédatrice. 
 Cette mécanique bien huilée est intrinsèquement 
 dangereuse. Plus une technologie est complexe, plus elle 
 est vulnérable, moins elle est maîtrisable 
 quel que soit les illusions techniciennes des lobbyistes 
 du nucléaire passés en politique. Dans une 
 société technicienne, les interactions sont 
 nombreuses, la complexité grandissante engendrant 
 des effondrements systémiques.
 Or, comme nous pouvons le constater aujourd’hui au 
 Japon, le fait d’avoir opté pour une certaine 
 forme d’unilatéralisme énergétique 
 nous place dans une dépendance extrême au nucléaire. 
 En cas d’accidents majeurs que seuls des technocrates 
 pétris d’idéologie refusent même 
 d’envisager, la France se retrouverait placée 
 dans une situation dramatique.
 Dramatique sur le plan écologique et sanitaire, 
 mais également sur le plan de la production d’électricité. 
 En étant pieds et mains liés au nucléaire, 
 la France prend le risque, en cas de catastrophe, d’un 
 retour à la bougie, faute d’alternatives aptes 
 à suppléer immédiatement à ce 
 nucléaire.
 Pour éviter la menace nucléaire, il nous 
 faut préparer l’avenir. En décidant 
 immédiatement de sortir du nucléaire, nous 
 nous mettons en marche vers un autre avenir énergétique 
 où l’unilatéralisme et le dogmatisme 
 sectaire ne serait plus la clef de voute d’une politique 
 qui mélange, depuis 40 ans, progrès technique 
 et progrès humain.
 Le meilleur moyen d’éviter la bougie est de 
 sortir du nucléaire. Une sortie programmée, 
 assumée et gérée politiquement à 
 court, moyen et long terme. A défaut, nous prenons 
 le risque d’une catastrophe nucléaire et par 
 la suite un chaos qui nous ramènerait immanquablement 
 à la bougie.Par Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’Environnement.&gt; Pour - <a href="http://www.referendum-nucleaire.fr/">un référendum sur la sortie du 
 nucléaire</a>.

Tribune : « Le nucléaire ET la bougie… »

Le succès du livre de Stéphane Hessel* ou de celui d’Hervé Kempf** sont de bons indicateurs d’une opinion publique prête à la mobilisation. Voilà une bonne nouvelle, tant est matraquée l’idée selon laquelle le rouleau compresseur de l’ultralibéralisme triomphant écraserait tout sur son passage et constituerait le seul avenir possible. L’espoir renaît donc et, avec lui, l’envie de peser sur les grands choix qui engagent notre avenir.Il reste à éviter les voies sans issue, nombreuses en cette période d’incertitudes. Combien d’acteurs optent délibérément et par facilité pour des solutions qui, sous couvert de « développement durable », ne font que prolonger un modèle d’ores et déjà dépassé ? 2010 fut l’année des déconvenues.A un rythme quasi quotidien, le gouvernement a accumulé des décisions anti-écologiques, traduisant dans les faits les propos du chef de l’Etat devant un parterre d’exploitants agricoles ravis : « L’environnement, ça commence à bien faire ! ». Ce qui commence à bien faire, c’est ce double discours qui tend à se muer en seconde nature. Ce qui commence à bien faire, c’est l’absence de vision innovante et raisonnée de certains responsables qui refusent de voir que le monde est en train de changer et que les vieilles recettes productivistes nous conduisent à la catastrophe. L’indignation est donc saine et positive mais elle doit se muer, en 2011, en une forte mobilisation citoyenne. Comme depuis maintenant quinze ans, Agir pour l’Environnement poursuivra avec ténacité son pugnace travail de mobilisation. Avec vous… naturellement !Dominique BERNARD (Président d’Agir pour l’Environnement)* Stéphane Hessel, Indignez-vous, Ed. Indigène ** Hervé Kempf, L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie, Ed. SeuilConsultez la lettre d'<a title="La lettre d'Agir pour l'Environnement 2010 - 2011" href="http://www.agirpourlenvironnement.org/pdf/lettre26.pdf">Agir pour l'Environnement 2010 - 2011</a> (PDF : 1 Mo) présentant le bilan annuel des dernières campagne.Contenu de la lettre :<ul><li>Introduction : Blanchiment écologique,</li><li>Bilan de la campagne : </li></ul>&gt; Nouvel aéroport, il est temps d’atterrir ! &gt; Le Jour de la Nuit 2010 &gt; La biodiversité, sa se cultive aussi ! &gt; Nouvelles autoroutes, non merci ! &gt; L'EPR, un réacteur nucléaire... inutile, couteux, dangereux ! &gt; 80 000 pubs dans le métro : RATPub ?<ul><li>Bilan financier</li></ul>

Climat : un coup de peinture verte ne suffit pas !

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Tribune : « Le nucléaire ET la bougie… »

Lettre d'Agir pour l'Environnement 2010 - 2011 : Indignons-nous !

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Restons mobilisés