Réserves De Biodiversité

Agir pour l'Environnement lance une grande campagne Ulule pour des financer des Réserves de Biodiversité dans toute la France. 

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<ul>
<li>Plus de la moiti&eacute; des participants indiquent &ecirc;tre &laquo; assez d&eacute;pendants &raquo; de leur smartphone.</li>
<li>44 % l&rsquo;utilisent le matin juste apr&egrave;s le r&eacute;veil et 35 % le soir avant de s&rsquo;endormir.</li>
<li>Un tiers des r&eacute;pondants reconnaissent utiliser leur mobile entre 2 et 4 heures par jour et 7 % d'entre eux entre 4 et 6 heures !</li>
<li>Enfin, 31 % affirment n&rsquo;avoir jamais pass&eacute; une journ&eacute;e sans portable.</li>
</ul>
Un sondage IFOP command&eacute; par Agir pour l&rsquo;environnement confirme les r&eacute;sultats de <a href="https://form.jotform.com/233542527551051" target="_blank" rel="noopener">l&rsquo;autodiagnostic</a> :&nbsp;60 % des jeunes &acirc;g&eacute;s de 18 &agrave; 24 ans utilisent leur mobile la nuit entre deux phases de sommeil. &Agrave; des degr&eacute;s divers, nous sommes toutes et tous attir&eacute;.e.s par cette proth&egrave;se ensorcelante.
Alors que l&rsquo;Organisation mondiale de la sant&eacute; (OMS) vient de publier un rapport reconnaissant que 11 % des adolescents ont un usage &laquo; probl&eacute;matique &raquo; des r&eacute;seaux sociaux et 32 % les utilisent de mani&egrave;re intense, il est grand temps d&rsquo;adopter des mesures protectrices :
<ol>
<li>En premier lieu, nous vous invitons &agrave; adopter la r&egrave;gle des 4 &laquo; pas &raquo; : pas d'&eacute;cran dans la chambre, pas d'&eacute;cran pendant les repas, pas d'&eacute;cran le matin au r&eacute;veil et pas d'&eacute;cran le soir une &agrave; deux heures avant de se coucher. Il est essentiel de transformer la chambre en un sanctuaire exempt de mobile, en instaurant notamment un &laquo; couvre-feu &raquo; num&eacute;rique.</li>
<li>Pour les enfants scolaris&eacute;s au coll&egrave;ge et, a fortiori, dans le primaire, l&rsquo;utilisation du mobile est interdite dans les enceintes scolaires. Sa possession est donc inutile et peut induire une inattention ainsi qu'une hyperactivit&eacute; due &agrave; une stimulation excessive des r&eacute;seaux sociaux.</li>
</ol>
Ensemble, nous pouvons agir afin de limiter l&rsquo;omnipr&eacute;sence et l&rsquo;influence du t&eacute;l&eacute;phone.

Numérique : Vers une éclipse scolaire

Paris, le 14 novembre 2024
Le 17 d&eacute;cembre, le S&eacute;nat examinera une proposition de loi visant &agrave; d&eacute;manteler la plupart des dispositions qui pr&eacute;servent l'environnement dans les pratiques agricoles : r&eacute;-autorisation des pesticides n&eacute;onicotino&iuml;des, agrandissement facilit&eacute; pour les &eacute;levages industriels, creusement massif de m&eacute;gabassines d'irrigation&hellip; Pire qu'une r&eacute;gression, ce texte constitue un v&eacute;ritable sabotage de l'agriculture de demain, dans une logique obscurantiste et suicidaire.
&Agrave; la premi&egrave;re lecture, la proposition de loi port&eacute;e par les s&eacute;nateurs Duplomb et Menonville semble &ecirc;tre une farce, tant elle caricature ce que l'agriculture industrielle peut imaginer de pire :
<ul>
<li>
r&eacute;-autorisation des pesticides n&eacute;onicotino&iuml;des n'ayant pas encore fait l'objet d'une interdiction europ&eacute;enne globale, tel l'ac&eacute;tamipride pourtant identifi&eacute; comme ultra-toxique,
</li>
<li>
possibilit&eacute; donn&eacute;e au ministre de l'agriculture de ne pas suivre les avis de l'Agence nationale de s&eacute;curit&eacute; sanitaire (ANSES) sur la dangerosit&eacute; des pesticides,
</li>
<li>
rehaussement des seuils en-de&ccedil;&agrave; desquels un &eacute;levage industriel peut s'agrandir sans r&eacute;aliser d'&eacute;valuation environnementale, ni d'enqu&ecirc;te publique (pourtant d&eacute;j&agrave; relev&eacute;s en juin 2024 !),
</li>
<li>
r&eacute;duction de la proc&eacute;dure de consultation du public,
</li>
<li>
soutien &agrave; la construction de m&eacute;gabassines d'irrigation au profit des agromanagers industriels,
</li>
<li>
renforcement du lobby agricole dans les instance de gestion de l'eau,
</li>
<li>
r&eacute;duction des zones humides prot&eacute;g&eacute;es (par modification des crit&egrave;res d'&eacute;ligibilit&eacute;).
</li>
</ul>
Ces propositions r&eacute;trogrades sont doublement dramatiques. D'abord parce qu'elles conduiraient &agrave; un saccage acc&eacute;l&eacute;r&eacute; de la biodiversit&eacute; (pesticides), du climat (&eacute;levages industriels) et des ressources (irrigation), ce qui repr&eacute;sente d&eacute;j&agrave; un &laquo;&nbsp;bingo&nbsp;&raquo; &eacute;cocidaire rarement atteint dans un simple texte l&eacute;gislatif. Ensuite parce qu'elles conduiraient &agrave; saper tous les efforts r&eacute;alis&eacute;s par les agriculteurs depuis des ann&eacute;es pour transformer leurs pratiques dans le sens de l'agro&eacute;cologie.
Ce texte est une gifle donn&eacute;e &agrave; tou&middot;te&middot;s les paysan&middot;ne&middot;s qui ont engag&eacute; leur ferme dans de nouvelles pratiques, et mettra en outre tous les autres encore plus en danger&nbsp;! Une agriculture gourmande en pesticides se suicide &agrave; petit feu, en d&eacute;truisant les &eacute;cosyst&egrave;mes dont elle d&eacute;pend &agrave; long terme. Une agriculture sous perfusion d'irrigation accro&icirc;t sa fragilit&eacute; face au d&eacute;r&egrave;glement climatique, qu'elle nie grossi&egrave;rement au lieu de s'y adapter. Des &eacute;levages de plus en plus concentrationnaires sont &agrave; la fois de moins en moins soutenables pour l'opinion publique et de plus en plus d&eacute;pendants des march&eacute;s internationaux, donc &agrave; la merci des crises agro-alimentaires et g&eacute;opolitiques.
Cette proposition de loi n'est pas seulement une forfaiture environnementale. Elle accule les paysans dans une impasse et place l'agriculture fran&ccedil;aise dans une situation d'extr&ecirc;me fragilit&eacute; et d'extr&ecirc;me danger. Les seuls gagnants seront les actionnaires des multinationales et des groupes agro-industriels. Une fois de plus, paysan&middot;ne&middot;s et environnement sont sacrifi&eacute;&middot;e&middot;s au profit de quelques privil&eacute;gi&eacute;s.
<h2>Contacts Presse</h2>
<ul>
<li>Jacques CAPLAT I&nbsp;Coordinateur des campagnes agriculture et alimentation chez Agir pour l'environnement</li>
<li>St&eacute;phen KERCKHOVE I Directeur g&eacute;n&eacute;ral d'Agir pour l'environnement</li>
</ul>

L'agriculture a besoin d'écosystèmes stables, pas de pesticides !

Trois questions @<a href="https://www.facebook.com/jeanpaul.besset">Jean-Paul BESSET</a>, auteur du livre "René Dumont, une vie saisie par l'écologie"Question n°1 : A la lecture de la biographie que vous avez consacrée à 
René Dumont, vous y brossez le portrait d'un homme infatigable, déterminé, 
lucide, indépendant, parfois irascible et trop souvent seul. Est-ce le lot de 
ceux qui ont le tort d'avoir raison trop tôt ?Nul n'est prophète en son 
pays, dit-on. Oui, René Dumont a dit des "vérités" bien avant tout le monde, 
avant que la crise écologique ne soit perceptible par tout le monde. C'est toute 
sa science d'agronome,&#160; ajoutée à son expérience pluridisciplinaire, sa pratique 
d'homme de terrain aussi, et probablement son propre sentiment de la nature, son 
attachement au vivant, qui lui ont fait "voir" les manifestations de cette crise 
majeure avec toutes ses conséquences sur la société des hommes, en particulier 
les plus exposés et démunis. L'imperméabilité des pouvoirs et des décideurs à ce 
sujet le mettait hors de lui. Comme tous les aveuglements sur le 
mal-développement des pays du Sud. Dumont était hanté par l'idée de la 
catastrophe possible. N'observait-il pas ses premières manifestations depuis un 
demi-siècle ?Question n°2 : Que gardez-vous de la richesse du parcours de René Dumont, 
agronome, tiers-mondiste et écologiste ?&#160;JPB - Outre une combativité 
inoxydable, une détermination sans faille,&#160; c'est paradoxalement son ouverture 
d'esprit, sa lucidité qui me rend le plus admiratif. Dumont ne niait jamais la 
réalité au nom de présupposés idéologiques, l'interpellation du réel était 
dominante. Lui, le meilleur productiviste agricole au lendemain de la guerre (il 
fallait bien nourrir les gens), s'est transformé en quelques années en premier 
des écologistes. Quelle remise en cause! Il a osé penser contre lui-même. Par 
souci de la vérité et du bien commun.Question n°3 : Malgré les coups de gueule et 
intuitions de René Dumont, la situation n'a cessé de se dégrader. Que 
faudrait-il pour que les crises écologiques soient enfin prises au sérieux et 
fassent l'objet de décisions concrètes ?&#160;JPB - Je crois que la crise 
écologique, dans toutes ses déclinaisons et dans son lien indissociable avec les 
questions économiques et sociale, est prise au sérieux par la majorité des gens. 
Mais elle oblige à des reconversions économiques, à des transformations 
sociales, à des changements de pratiques, de comportements, d'habitudes telles 
que la sidération des consciences l'emporte encore. On sait que c'est vrai mais 
quelque part on n'y croit pas, en raison de l'attachement à une autre époque, 
celle de la croissance glorieuse. Le noyau culturel collectif (mais présent en 
chaque individu) résiste. C'est à ce travail en profondeur sur l'idée même de 
développement et de progrès qu'il faut procéder.<a href="http://www.lespetitsmatins.fr/collections/rene-dumont-une-vie-saisie-par-lecologie/">Commandez le livre</a> sur le site des éditions Les Petits Matins <strong style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; outline: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline; color: rgb(254, 118, 0); font-family: CartoGothic, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 21px;"><a href="http://faire-un-don.agirpourlenvironnement.org/">Soutenez Agir pour l'Environnement en adhérant à l'association</a>

René Dumont, une vie saisie par l'écologie

Trois questions @Jean-Paul BESSET, auteur du livre "René Dumont, une vie saisie par l'écologie"

Brûler ou enfouir des déchets qui peuvent être valorisés&#160;? Un immense gâchis&#160;! Et c’est exactement ce qui se passe actuellement pour les biodéchets. C’est pourquoi le <a title="Cniid" href="http://www.cniid.org/">Cniid</a> lance la <a href="http://jeveuxmonbacbio.org/?utm_source=APE&amp;utm_medium=courrielhebdo&amp;utm_campaign=biodechets">campagne de mobilisation «&#160;Je veux mon bac bio&#160;»</a><a href="http://jeveuxmonbacbio.org/?utm_source=APE&amp;utm_medium=courrielhebdo&amp;utm_campaign=biodechets"> pour le tri des biodéchets</a>.Les biodéchets, déchets biodégradables de nos poubelles comme les épluchures, les restes de repas, les déchets verts de jardins sont valorisables en compost, fertilisant essentiel pour les sols agricoles et en biogaz, énergie 100% renouvelables. Faute d’un tri à la source, nos biodéchets se retrouvent aujourd’hui incinérés ou mis en décharge générant de nombreuses pollutions de l’eau, des sols et des émissions de gaz à effet de serre. La campagne «&#160;je veux mon bac bio&#160;» lancée par le <a title="Cniid" href="http://www.cniid.org/">Cniid</a> et soutenue par de nombreuses associations vise à interpeller les décideurs politiques sur le sort des biodéchets en&#160; France et promouvoir la gestion séparée qui seule, permet de les valoriser. La campagne s’inscrit dans le cadre national et européen de prévention et de valorisation des déchets et plus largement de la transition écologique. Les dispositions du Grenelle de l’environnement et des directives européennes relatives aux déchets encouragent en effet la mise en place de la gestions séparée des biodéchets. Pour répondre aux objectifs fixés par le Grenelle de 45% de taux de recyclage en 2015 et de 23% de production d’énergie renouvelable d’ici 2020, les biodéchets ne doivent plus être les grands oubliés de la gestion des déchets&#160;! A l’heure actuelle, ce sont plus de 90 collectivités qui ont mis en place la collecte séparée et beaucoup d’autres qui favorisent le compostage partagé et individuel. Ce sont autant de pratiques que nous devons encourager dans une démarche d’optimisation globale de la gestion des déchets.<a href="http://jeveuxmonbacbio.org/?utm_source=APE&amp;utm_medium=courrielhebdo&amp;utm_campaign=biodechets">Signez maintenant la pétition et recensez vos initiatives de compostage partagé</a>. Notre poubelle a de la valeur, mobilisons nous pour le tri des biodéchets. &#160;Parce que le tri des biodéchets sera bientôt aussi naturel que le tri des emballages&#160;!
<iframe width="508" height="286" src="http://www.youtube.com/embed/EcvfWjMf3B8" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

CAMPAGNE - Demandez votre "bac bio" pour le tri des biodéchets : Signez la pétition !

Parce que l’avenir ne nous intéresse pas, que les générations futures n’existent 
pas, nous, pétrooliques anonymes rassemblés au sein du mouvement des « autruches 
», souhaitons que la France fasse pareil mais pire que les États-Unis en 
puisant les gaz et huiles de schiste tout en relançant le nucléaire. Une fois 
fracturée et vidée de ses gaz et huile d schiste, la roche-mère pourra ensuite 
stocker le CO2 et/ou accueillir nos déchets nucléaires.Alors qu’un 
débat national semble vouloir conduire timidement la France sur le chemin de la 
transition énergétique, le mouvement des « autruches » souhaite attirer 
l’attention du ministre du redressement productif sur les dangers que constitue, 
pour notre économie, pour la croissance, pour l’emploi et pour l’avenir des 
trente glorieuses et cinquante gaspilleuses, le rejet du nucléaire, des gaz et 
huiles des schistes.Alors que les États-Unis poursuivent une stratégie 
qui leur a toujours réussi en puisant sans réserve les gaz et pétroles de 
schiste, la France prend le risque d’une politique énergétique vertueuse 
reposant sur la sobriété et l’efficacité énergétique et le développement des 
énergies renouvelables. Or, les gaz et pétrole de schiste et le nucléaire sont aux 
énergies renouvelables ce que le vice est à la vertu. Or, nous sommes 
viscéralement attachés au gaspillage qui accroît le PIB et nous sauvera de la 
récession.Le mouvement des « autruches » a décidé de se rallier aux 
mots d’ordre suivants :<ul><li>Pendant que les ONG s’épuisent, les « 
autruches » puisent.</li><li>Autruches de tous les pays, Shadokons 
ensemble !</li><li>Sous les pavés, la plage… Sous la plage, le gaz, 
l’huile et les déchets nucléaires !</li><li>#Gazouilledeschiste, maintenant !</li></ul><strong style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; outline: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline; color: rgb(254, 118, 0); font-family: CartoGothic, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 21px;"><a style="margin: 0px; padding: 0px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; outline: 0px; vertical-align: baseline; background-color: transparent; color: rgb(0, 0, 0); text-decoration: initial;">Soutenez Agir pour l'Environnement en adhérant à l'association</a>

Gaz de schiste et nucléaire : Le mouvement des « autruches » en appelle au ministre du redressement productif !

Mardi 18 juin à 19h45<h2><a href="http://www.agirpourlenvironnement.org/actions/cine-debat-lovemeatender-le-18-juin-paris">Ciné débat - LoveMEATender</a></h2>Documentaire sur les conséquences de l'élevage industriel.Infos pratiques :&#160;Studio des Ursulines – Paris 5èmeM° LuxembourgEntrée gratuite <a href="http://www.ciwf.fr/lovemeatender.fr">sur inscription auprès du CIWF</a>.--Jeudi 20 juin<h2><a href="http://www.agirpourlenvironnement.org/actions/pique-nique-jeudi-veggie-le-20-juin-paris">Pique-nique végétarien</a></h2>Venez découvrir de nouvelles saveurs !Infos pratiques :Aux Parc des Buttes Chaumont à 19h (75019)Plus d'info sur <a href="http://www.jeudi-veggie.fr">le site des Jeudis veggie</a>.--Lundi 1er juillet à 19h<h2><a href="http://www.agirpourlenvironnement.org/actions/cine-debat-entree-du-personnel-le-1er-juillet-paris">Ciné débat - Entrée du personnel</a></h2>Film choc sur les conditions de travail dans les abattoirsInfos pratiques :Paris - Mairie du 2ème(Métro : Bourse)

Bien être animal, libérez la cache qui pleure !

Élevage industriel, tous victimes : ACTIONS !

Et ça commence ce week-end à Paris, avec La Ferme à Paris.Le vendredi 31 mai et le samedi 1er juin, au programme :<ul><li>un marché paysan</li><li>une ferme pédagogique</li><li>des pique-niques géants</li><li>buvettes, discos soupes</li><li>forum de discussions</li><li>tables rondes, débats, tribune politique</li><li>cinémas</li><li>concerts...</li></ul>
<iframe width="512" height="288" src="http://www.youtube.com/embed/PJlsJDth-Vo" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Bref de quoi éveiller chacun de vos sens ! Mais aussi et encore : <ul><li>Un village associatif où vous pourrez nous retrouver ! <a href="https://twitter.com/sophieborderes">Sophie</a> et <a href="https://twitter.com/ldkochko">Larissa</a> seront présentes pour vous présenter les dernières campagnes en cours, le projet associatif, les prochains événements… N’hésitez pas à venir nous saluer si vous êtes là ! Ça nous fait toujours plaisir de rencontrer nos membres et nos soutiens ! Nous partagerons un stand avec d'autres associations amies que vous aurez peut-être l'occasion de découvrir ainsi.</li><li>Agir pour l'environnement sera aussi présente lors du forum citoyen vendredi à 17h. Larissa participera au premier atelier : « quelle mobilisation citoyenne et politique pour remettre l'agriculture et les paysans au cœur des territoires ? »</li><li>Et enfin, Jacques Caplat, administrateur d'Agir pour l'environnement participera à la conférence débat du soir « La Pac permettra-t-elle une agriculture durable et une alimentation de qualité pour tous les Européens ? » avec Stéphane le Foll, José Bové et Benny Haerlin</li></ul>Le samedi une éclaircie est même prévue à Paris alors ce serait vraiment « bête » de ne pas venir à la ferme !On vous attend vendredi et samedi place Stalingrad pour faire passer vos messages haut et fort et dire qu'une autre PAC est possible.Pour retrouver le programme complet et en détail c'est ici : <a href="http://enviedepaysans.fr/ferme-a-paris-programme/">http://enviedepaysans.fr/ferme-a-paris-programme/</a>

Quoi faire ce week-end à Paris...

Par <a title="Sophie Bordères" href="https://twitter.com/sophieborderes">Sophie Bordères</a> - Coordinatrice de campagnes.--Cette déclaration finale, loin d'aborder la transition énergétique, la sobriété, les énergies renouvelables, etc. ne pense les objectifs énergétiques de l'Union Européenne qu'en termes de compétitivité industrielle, de baisse des prix de la facture et d'investissement nécessaire du secteur privé pour financer les politiques énergétiques.Les gouvernements ont également insisté pour pouvoir être les seuls maîtres de leur mix énergétique, c'est à dire que c'est à eux seuls de décider s'ils utiliseront du nucléaire, du charbon ou....des gaz de schiste. Même si cette dernière source d'énergie fait débat au sein de l'Union Européenne, il semblerait que l'avenir énergétique ne soit pas envisagé sans recours à l'exploitation des gaz et huiles de schiste, les premiers arguments étant une énergie peu couteuse et la baisse du prix de la facture pour les citoyens.Pourtant, on le sait, les gaz et huiles de schiste risquent de coûter très cher à la planète et sont bien loin des objectifs d'une transition énergétique. Ils vont à l'inverse de l'objectif de l'Union Européenne de réduire de 20% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2020 puisque l'exploitation de cette énergie entraînerait de nombreuses fuites de méthane. Lesquelles,, traversant l'atmosphère, ne feraient qu'augmenter nos émissions de gaz à effet de serre.Si la France a, pour le moment fermé la porte à la fracturation hydraulique, Arnaud Montebourg ne cesse de multiplier les déclarations pro gaz de schiste quand Delphine Batho semble défendre, sans réelle conviction, l'interdiction de la fracturation hydraulique...tant qu'une autre méthode «&#160;plus propre&#160;» n'est pas développée. La porte est donc fermée...mais prête à être réouverte&#160;! Et les signaux envoyés depuis le débat sur la transition énergétique ne sont pas fait pour nous rassurer. On apprend ainsi que poussé par le MEDEF, le groupe de travail sur le financement de la transition énergétique,défend le recours aux gaz de schiste et demande « un infléchissement de la position française » afin « d’éviter de faire prendre de nouvelles années de retard à notre pays ».De son côté, le groupe texan Schuepbach, suite à l'abrogation de ses permis de recherche d'hydrocarbures de Nant et de Villeneuve de Berg à d'ailleurs saisi le Conseil d'Etat d'une question prioritaire de constitutionnalité de la loi de juillet 2011 interdisant la fracturation hydraulique en France&#160;. En déclarant les articles 1 et 3 anticonstitutionnels et non conforme à la Charte de l'environnement et à la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen, l'industriel menace la loi et avec, l'interdiction toute entière d'explorer les gaz et huiles de schiste sur le territoire français. Le Conseil d’État à jusqu'au 19 juin pour se prononcer sur la censure ou non de la loi. S'il ne le fait pas, le Conseil Constitutionnel sera immédiatement saisi.Que ce soit l'Union Européenne ou ses États membres, à commencer par la France,&#160; il est déplorable de voir qu'aucun effort n'est réalisé pour se saisir de la transition énergétique et se tourner, enfin, vers les énergies renouvelables. L'énergie reste une question de «&#160;gros sous&#160;» comme les autres, la planète et les générations futures passant bien après l'enrichissement des industriels. Il est donc plus que jamais nécessaire de rester vigilant et mobilisés afin de dire non à une Europe des énergies fossiles et des gaz et huiles de schiste&#160;!

Actualités

Trois questions @Jean-Paul BESSET, auteur du livre "René Dumont, une vie saisie par l'écologie"

CAMPAGNE - Demandez votre "bac bio" pour le tri des biodéchets : Signez la pétition !

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Élevage industriel, tous victimes : ACTIONS !

Quoi faire ce week-end à Paris...

Sommet énergie de l'UE: Pas de pitié pour le climat!

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Quoi faire ce week-end à Paris...

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Restons mobilisés